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Srpski portali vukovar

mifenrari | 09 Јануар, 2019 03:46

Sutra 25 godina od ulaska JNA u Vukovar

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Nakon takve škole Srbi uopće nisu konkurentni na hrvatskom tržištu rada. Zabluda: JNA je bila srpska vojska. Hrvatske snage su zaustavile vojne akcije kako bi konvoj mogao mirno proći 12.

Son action permit de sauver les vies de 20 000 personnes qui auraient pu périr noyées. Znali su se javno posvaditi i vrijeđati, ali su onda na privatnim večerama zajedno vidali rane i međusobno se častili. Uvečer branitelji su prilikom čišćenja pronašli i dva upotrebljiva tenka te manje skladište oružja s nekih 120 zolja, nekoliko snajpera i streljivom.

Mnoge žene i djeca su ubijeni. Nakon referenduma o neovisnosti, nasilje se pogoršalo po Vukovaru. Consulté le December 12, 2010. Na početku , JNA je i dalje na sebe gledala kao na branitelja federativne, komunističke Jugoslavije, a ne kao na instrument srpskog nacionalizma. Preživjeli branitelji i novinari pisali su razne memoare, pjesme i svjedočenja. S vremenom je toga bilo sve manje i manje.

Sutra 25 godina od ulaska JNA u Vukovar - Consulté le January 22, 2011.

La bataille de Vukovar est un siège de 87 jours ayant eu lieu aux alentours de la ville de lors de la. Vukovar est défendue par 1 800 soldats de la garde nationale croate, faiblement armés et des volontaires civils. Face à eux, l' et des forces paramilitaires serbes alignent 36 000 soldats équipés d'armes lourdes et d'artillerie. La bataille de Vukovar est la plus féroce et la plus longue ayant eu lieu en Europe depuis 1945, et Vukovar est la première ville importante en Europe à être entièrement rasée depuis la ,. Lors de la chute de la ville, le 18 novembre 1991, plusieurs centaines de personnes sont massacrées par les forces serbes et au moins 20 000 habitants sont expulsés. Il a été préservé ainsi en souvenir de la bataille. Après 87 jours de , le , les 1500 combattants croates du commandant qui défendaient encore la ville se rendent, laissant la population en proie aux exactions des troupes serbes de qui pénètrent dans une cité réduite à un champ de ruines et de cendres. La population est alors réunie dans le stade, les hommes en âge de se battre sont séparés des femmes, des enfants et des vieillards. On ne reverra jamais les premiers. Le même sort attend les 420 blessés de l'hôpital où se trouvait entre autres un volontaire français, , âgé de 25 ans. Le 18 novembre, le délégué du , Nicolas Borsinger, s'impose à la table des négociations de la reddition et exige d'enregistrer les noms des combattants croates qui se rendent. C'était la preuve que ces personnes étaient en vie et s'étaient rendues. Ainsi environ 200 personnes ont été sauvées. Mais le matin du 20 novembre, 264 personnes ont été transférées depuis l'hôpital de Vukovar, par bus, juste avant l'arrivée du CICR, au mépris total de l'accord de neutralisation de l'hôpital signé la veille par les parties s'engageant à placer l'hôpital sous la protection du CICR. Ces personnes seront exécutées le jour même à Ovcara. Le a ensuite été jugé par le TPI à la fin des années 2000. Aujourd'hui encore les effets d'un des épisodes les plus sanglants du conflit yougoslave sont loin d'être effacés. Croates et Serbes cohabitent difficilement dans la ville de Vukovar reconstruite ; ils évitent de se fréquenter. Les écoliers des deux communautés continuent à suivre leurs enseignements dans des établissements séparés. Le 4 novembre 2010, le président croate et le ont accompli un acte de pardon et de mémoire l'un envers l'autre. Le président croate s'est excusé pour l'exécution par les forces croates le 18 décembre 1991 à de 18 civils serbes et un hongrois. Et le président serbe quant à lui a rencontré les familles des disparus croates lors de la prise de la ville par l'armée de Yougoslavie. Dans une interview à un quotidien croate, a informé ses interlocuteurs que sa visite représentait « un message à tous les gens vivant en Europe de sud-est qu'une telle chose ne devrait plus jamais se passer ». La visite est « un geste symbolique et de civilisation très important » qui contribuera à « faciliter les liens entre la Croatie et la Serbie encombrés par le passé », a déclaré le bureau du président croate. Les deux présidents ont visité le centre mémorial d'Ovcara où les victimes ont été tuées et enterrées dans des fosses communes.